Anecdotes du Shop – Les Galères qui Méritent une Série Netflix
Bienvenue dans le bordel du barbershop, où chaque jour est un combat entre tondeuses, ego surdimensionnés et clients qui te donnent envie de tout plaquer pour élever des chèvres. Voici un échantillon des conneries qu’on vit, racontées sans filtre, avec une bonne dose de rage et d’humour noir.
Accroche toi, ça va piquer.

Le Bonjour de la Discorde : Fred, le Barbier qui Chiale pour un "Salut"
On a tous croisé un Fred dans nos vies, ce genre de mec qui transforme un pet en apocalypse. Fred, c’était notre barbier, un gars qui savait manier la tondeuse mais pas son ego.
Un matin, Hector, le tatoueur du shop, lui fait remarquer qu’il a oublié de dire "bonjour" en arrivant. Un putain de "bonjour", pas une insulte, pas un coup de poing.
Eh ben, Fred l’a pris comme si on lui avait craché dans son café. "Je me sens agressé !" qu’il chiale, les larmes aux yeux, comme s’il jouait dans un téléfilm à deux balles. Résultat ?
Il claque la porte, déchire son contrat, et nous plante là, tout ça pour un mot de huit lettres.
Moralité : si un "bonjour" te fait péter un câble, va bosser dans un phare, pas dans un shop. On savait pas que la politesse était une arme de guerre, mais Fred, lui, a déclaré la troisième guerre mondiale pour moins que ça.

Nom de Code "Cappuccino" : Quand les Clients Chelous Méritent un Plan de Guerre
Y’a des jours où le shop, c’est pas un salon, c’est un putain de champ de bataille. T’as ces clients chelous, ceux qui te fixent un peu trop, qui posent des questions bizarres, ou qui sentent le drama à dix bornes.
Pour survivre, avec Aude, on a monté une stratégie digne d’un film d’espionnage à la con.
Le code ? "Cappuccino".
Si je descends dans son salon de tatouage et que je lui demande si elle veut un café, et qu’elle répond "un cappuccino", c’est l’alerte rouge. Pas de blabla, pas de questions. Je remonte, j’attrape la gazeuse, et je redescends prête à dégager le relou.
Pour l’instant, on a pas eu à jouer les Rambo, mais ce code, c’est notre assurance-vie. Parce que dans ce merdier, un client chelou, c’est pas juste une anecdote, c’est une menace. Et on est prêtes à tout pour protéger notre shop.

Le Mur des Lapins : Les No-Shows qu’on Rêve de Défoncer à la Fléchette
Les no-shows, c’est la plaie universelle du commerce. Ces génies prennent un créneau, te font bloquer une heure dans ton agenda déjà serré comme un string, et puis… nada. Pas un SMS, pas un appel, juste un vent qui pue la nonchalance. Au début, t’essaies de rester cool, de te dire qu’ils ont peut-être eu un accident. Mais au dixième lapin, t’as juste envie de leur arracher la barbe à la pince à épiler.
Pour pas finir en taule, on a trouvé une thérapie : le Mur des Lapins.
Chaque connard qui nous pose un lapin sans prévenir voit sa tronche (fictive, hein, on est pas des psychopathes) punaisée sur un mur, prête à encaisser une volée de fléchettes. C’est notre sport, notre art, notre vengeance. On vise la tête, le cœur, ou les couilles, selon l’humeur. Parce que si tu nous fais perdre du temps, on va te faire perdre des points… dans notre jeu à nous. Next !

Le Fantôme du Fauteuil : Ces Clients qui Claquent sans un Mot
Le shop, c’est plus qu’un boulot. C’est un confessionnal, un divan de psy, un rade où les mecs viennent vider leur sac.
On sait tout : leurs taf,leurs mariages et même leurs divorces, leurs plans cul foireux, le noms de leurs gosses et de leurs femmes, les galères de vacances et même leur maladie .
Et puis, un jour, pouf, ils disparaissent.
Pas un message, pas un "je reviens pas". Juste un vide dans le fauteuil.
Le pire ?
Quand tu découvres, des mois après, par un pote ou un article à la con, qu’ils ont cassé leur pipe. Pas un mot de la famille, pas une lettre. Rien. T’étais leur barbier, leur confident, mais t’es juste un fantôme dans leur vie.
Commentaires
Putain de bon shop où tu sors pas optimiste mais bien coiffé !
Viens pas ici pour trouver des solutions politiques républicaines de fiottes. Le Roi un point c'est tout.
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