La dictature des prénoms : Quand le cringe devient "originalité" et le narcissisme parental.
Le concours d’ego des prénoms
Accroche-toi, parce qu’on va plonger dans un bordel qui devrait être simple mais qui, en France, est devenu un putain de cirque d’ego parental : les prénoms. Ce qui était censé être un joli cadeau pour ton gosse s’est transformé en un concours de qui a la plus grosse… créativité, bien sûr. Moi, j’en ai ras-le-cul de voir des parents transformer leurs mômes en panneaux publicitaires pour leur propre narcissisme. Ce blog, c’est mon ring, et aujourd’hui, je fous mes couilles sur la table pour défoncer ces prénoms cringe qui pourrissent la vie des gosses. Prêt à prendre une claque ? Parce que ça va cogner, bordel.



Le crime des prénoms "originaux"
En France, appeler ton gosse Martin, Camille, ou – sacrilège – Pierre, c’est comme porter un jogging Quechua en soirée branchée : t’es un ringard, un loser, un type sans imagination. Non, aujourd’hui, il faut du "unique", du "rare", du "ouah, trop stylé".
Résultat ?
Des parents qui baptisent leur môme Anakin, comme si le gamin allait sortir de la maternité avec un sabre laser. Ou Khaleesi, parce que maman a binge-watché Game of Thrones et trouve ça "empowerment".
Putain, sérieux ? Ton gosse va se faire harceler jusqu’au bac, et toi, t’es là à te branler sur ta "créativité".
Dans mon shop, j’ai un client qui a appelé son fils Daenerys – oui, Daenerys, avec un Y, pour faire "authentique". Le gamin a 5 ans, et il sait déjà qu’il va passer sa vie à expliquer pourquoi il porte le nom d’une meuf qui crame des villes avec des dragons. C’est pas de l’originalité, c’est une putain de malédiction.
Les prénoms imprononçables, le summum du cringe
Et puis y’a les parents qui jouent aux apprentis sorciers avec l’alphabet. Des prénoms avec des orthographes tordues, genre Kheïllyah ou Jhaxton, qui te donnent envie de t’arracher les cheveux avec une tondeuse mal réglée. Ces génies pensent que leur gosse sera "unique", mais tout ce qu’ils lui filent, c’est une vie à épeler son prénom à chaque guichet, à chaque prof, à chaque putain de formulaire. J’ai eu un client, l’autre jour, qui m’a dit que sa fille s’appelait Aërynn-Lunaëlle. J’ai cru que c’était une blague, mais non, elle était sérieuse, avec des étoiles dans les yeux comme si elle avait inventé la roue. Aude, a failli s’étouffer avec son café en entendant ça.
Moralité : si ton prénom ressemble à un code Wi-Fi, t’as pas rendu ton gosse spécial, t’as juste rendu sa vie compliquée.
Le pompon : les prénoms fusionnés
Mais le pire du pire, le summum du narcissisme, c’est quand les parents mélangent leurs prénoms pour créer un monstre. Jean et Sophie ? Ça donne Jeansophie, une aberration qui sonne comme une marque de yaourt. Marc et Isabelle ? Marcabelle, parce que pourquoi pas transformer ton gosse en logo de startup. C’est pas un prénom, c’est un putain de contrat de mariage gravé sur la tronche de ton môme. Ces parents se branlent sur leur "amour éternel" et transforment leur gamin en preuve ambulante de leur ego surdimensionné. Les pauvres mômes, à 8 ans, il savent déjà qu’ils sont pas des individus, mais un putain de hashtag de couple. C’est pas de l’amour, c’est du marketing à la con.
La vraie victime : le gosse
Ces parents, ils croient qu’ils font un cadeau à leur môme avec ces prénoms à la mord-moi-le-nœud. "Il sera unique !" qu’ils disent, comme s’ils avaient pondu le prochain Elon Musk. En vrai, leur gosse va passer sa vie à expliquer pourquoi il s’appelle Skylär-Zéphyr ou à encaisser les moqueries des autres gamins.
Et ne me lance pas sur ma cousine féministe Maëlle, qui m’a saoulée à Noël en disant que les prénoms classiques, c’est "genré" et "colonial". Sérieux, Léa ?
T’as appelé ton chat "Intersectionnalité", alors ferme-la.
La vraie charge mentale, c’est pour ces mômes qui vont traîner le délire de leurs parents jusqu’à la tombe. Pendant que les bobos se pavanent avec leurs tote bags écolos et leurs prénoms "créatifs", nous, on bosse, on galère, et on voit les dégâts de ce narcissisme dans le shop, à chaque client qui raconte la galère de son gosse nommé GameOfThrones-Junior.
Conclusion : Laissez les gosses tranquilles, bordel
La dictature des prénoms, c’est pas de l’originalité, c’est du putain d’ego parental qui pourrit la vie des mômes. Ces parents transforment leurs enfants en pancartes pour leur propre gloire, pendant que nous, les gens normaux, on galère à payer les factures et à couper des barbes. Alors, la prochaine fois que vous voulez appeler votre gosse Arya-Stormborn ou Jeanmichelayla, pensez à lui, pas à votre compte Insta. Et si vous croisez ma cousine Léa, dites-lui de ranger son sermon woke et de venir voir dans mon shop. Parce que nous, on continuera à dire la vérité et à défoncer ces conneries, même si ça fait chier les parents "créatifs".
À bon entendeur, arrêtez de pourrir la vie de vos gosses, et donnez-leur un prénom qui les laisse respirer, bordel.
Bisous
Ajouter un commentaire
Commentaires