Les nouvelles féministes : Quand la misandrie devient un sport !
Ras-le-cul des féministes à œillères.
Accroche-toi, parce qu’aujourd’hui, je vais défoncer un truc qui me file des plaques : ces “nouvelles féministes” qui brandissent leurs poils sous les bras comme un drapeau et crachent sur tout ce qui a des couilles. Ces meufs pensent que, parce que je suis une nana et patronne, je suis leur pote de combat anti-mecs.
Spoiler : ma vie, c’est pas votre putain de manuel de militante. Ce blog, c’est mon ring, et je fous mes couilles sur la table pour dire stop à votre misandrie à deux balles. Prêt à encaisser ? Ça va cogner, bordel !



Leur délire : T’es une meuf, t’es avec nous, point
Ces féministes 2.0, c’est un cauchemar. Elles débarquent avec leurs gros sabots, leurs slogans à la con genre “le patriarcat tue” et leurs préjugés plus épais qu’un bottin. Parce que je suis cheffe d’entreprise et sans gosses, elles m’ont déjà collé l’étiquette “guerrière féministe, victime du mâle”. Sérieux ?
L’autre jour, au bar , une nana m’a saoulée avec son speech : “T’es une femme forte, tu brises les plafonds de verre, sister !” Putain, meuf, je coupe des cheveux, je paye des taxes, et je galère, pas de quoi écrire un manifeste. Selon Le Figaro (janvier 2025), ces néo-féministes cartonnent sur X avec des hashtags comme #SmashThePatriarchy, mais leur discours gave 58% des Françaises (Ifop), qui veulent juste vivre sans jouer les soldates. Leur délire ? Si t’as un utérus, t’es dans leur camp, sinon t’es une traîtresse. Mon cul.
Ma vie, pas votre cliché woke
Laissez-moi remettre les pendules à l’heure.
Si j’ai pas d’enfants, c’est pas un “choix militant” contre le patriarcat ou un refus de la “maternité oppressive”. C’est ma vie, bordel : une jeunesse de babos gauchiasse, des virages, des galères, et un corps qui suit plus forcément. C’est pas une case cochée dans votre manuel de “féminisme pour les nuls” avec des dessins de vulves.
Et si je suis patronne, c’est pas pour “prouver que les meufs peuvent”. C’est grâce à mon mari, qui assure financièrement, parce que sans lui, avec les taxes et les normes à la con de l’État, mon shop serait déjà six pieds sous terre. Un client m’a dit un jour : “T’es une inspiration féministe !” Non, mec, je suis juste une nana qui bosse et qui survit dans un système qui nous saigne. La vraie oppression, c’est pas les mecs, c’est les factures et les bureaucrates.
La misandrie : Leur sport, pas le mien
Ces féministes transforment tout en guerre anti-mecs. Un mec te parle ? C’est du manspreading. Il te paye un café ? C’est du sexisme. Sur X, des posts viraux accusent les hommes de tout : chômage, pollution, même la pluie.
Putain, sérieux ?
Moi, je vois des mecs qui bossent, galèrent, et soutiennent des nanas comme moi, comme mon mari. Mon féminisme, c’est pas cracher sur les couilles, c’est la liberté de vivre ma vie sans vos étiquettes à la con. Comme dans mon article sur la guerre des identités, j’en ai marre qu’on me force à choisir un camp. Je veux juste être moi, pas votre soldate de la misandrie.
Du coup, grâce à ces néo-féministes, les mecs n’osent même plus nous draguer. Ils flippent de se prendre un vent ou, pire, de passer pour un Kader qui te balance des “eh mademoiselle” lourdingues en te giflant verbalement dans la rue. Sur X, des mecs partagent leurs galères : un regard un peu long, et t’es accusé de “male gaze” oppressant. Selon Le Monde, 65% des mecs de moins de 30 ans disent éviter de draguer par peur des réactions. Merci, les féministes, vous avez transformé la séduction en champ de mines. On veut des mecs qui osent, pas des Kader, ni des robots qui s’excusent d’exister.
Conclusion : Ma liberté, pas votre combat
Ces nouvelles féministes, avec leur haine des mecs et leurs clichés woke, me font gerber. Ma vie, c’est pas votre manuel de militante, et mes galères, c’est pas votre hashtag. En 2025, les gens normaux en ont ras-le-cul de vos guerres à la con. On veut bosser, aimer, vivre sans vos étiquettes. Alors, à toutes ces néo-féministes aux poils sous les bras et aux jugements à deux balles, un message : dégagez avec votre misandrie. Je continuerai à soutenir les mecs ,a aimer mon mari, à galérer et à être moi, même si ça vous fait chier. Et si vous voulez me coller dans votre camp, venez au shop, on causera. À bon entendeur, fermez vos applis et laissez ma vie tranquille, bordel !
Bisous les filles.
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