Le Patriotisme Français : La Maladie Honteuse d’un Pays qui Crache sur son Histoire et se Branle les Drapeaux des Autres
Fierté nationale, maladie terminale
Accroche-toi à ton café, parce qu’aujourd’hui, on va parler d’un truc qui, en France, te fait passer pour un beauf, un facho, ou un taré qui collectionne les drapeaux dans sa cave :
Etre patriote.
Oui, putain, aimer son pays, être fier de son tricolore, ça devrait être aussi naturel que bouffer une baguette ou râler contre la SNCF. Sauf qu’ici, c’est une maladie honteuse, un virus qu’on planque sous le tapis de la bien-pensance woke. Moi, je suis française, née ici, grandie ici, et j’en ai ras-le-cul de devoir chuchoter que j’aime mon pays comme si j’avouais un crime. Ce blog, c’est mon ring, et aujourd’hui, je fous mes couilles sur la table pour défoncer cette hypocrisie qui nous bouffe.
Le drapeau tricolore, ce pestiféré
Va aux États-Unis, en Italie, ou même en Corée, bordel. Les gens hissent leur drapeau, chantent leur hymne, et kiffent leur identité sans que personne vienne leur cracher des "fasciste !" à la gueule. C’est normal, c’est sain, c’est la base. Mais en France ? Si t’oses sortir un tricolore dans la rue, t’es cuit. T’as direct une meute de gauchos qui te tombe dessus avec leurs pancartes arc-en-ciel, te traitant de "raciste", "nationaliste", ou "connard de droite".
Sérieux ? Aimer son pays, c’est pas haïr les autres, c’est juste savoir d’où tu viens. Pourtant, à chaque manif, que vois-tu ? Des drapeaux palestiniens, cubains, ou je sais pas quelle cause à 10 000 bornes, brandis par des mecs qui crachent sur le bleu-blanc-rouge comme si c’était un torchon nazi. C’est quoi ce délire ? Ces mêmes clowns qui hurlent "vive la diversité" te font la morale si t’oses dire "vive la France". Connards de wokistes, va. Ça me rappelle Kader et Kevin, qui cassent des vitrines pour la "révolution" mais pleurent si tu touches à leur iPhone. Deux poids, deux mesures, et un gros fuck à la cohérence.
La France, ex-rockstar mondiale
Remontons le temps. La France, c’était la boss. On a pondu les Droits de l’Homme (bon, sur le papier, on va pas se mentir), des philosophes qui ont fait flipper les rois, des artistes qui ont mis le monde à genoux, des savants qui ont inventé des trucs avant que t’aies un smartphone pour googler leur nom. On a construit des cathédrales qui défient la gravité, des châteaux qui font baver les touristes, une cuisine qui rend les autres jaloux, et une mode qui fait encore rêver.
On était les putains de patrons, l’avant-garde, le modèle que tout le monde copiait.
Et aujourd’hui ? On est des losers qui s’autoflagellent, qui s’excusent d’exister, qui laissent des abrutis brûler des drapeaux ou taguer des monuments pendant que les intellos parisiens applaudissent en disant "c’est de l’art contestataire". Mon cul. On a oublié qu’on était grands, et on se complaît à chialer sur nos "crimes historiques" pendant que les autres pays capitalisent sur leur passé sans complexe.
Le shop, miroir de cette merde
Dans mon barbershop, je vois le résultat de ce bordel. Des clients qui viennent, la queue entre les jambes, parce ils ont osé dire "j’aime la France" et qu’on les a traités de fachos. Des mecs qui veulent une coupe "classique", mais qui se sentent obligés de préciser "pas trop franchouillard, hein". Putain, depuis quand une coupe dégradée, c’est un manifeste politique ? C'est les même qui me disent " je dis ça mais je suis pas raciste hein! Ce genre de conneries, c’est l’écho de ce patriotisme honteux : on te fait culpabiliser d’aimer ce que t’es, pendant que les autres paradent avec leurs drapeaux sans sourciller.
Alors arrêtez de chialer, soyez fiers
Comment on en est arrivés là, putain ? À un point où aimer son pays, c’est suspect, où brandir le tricolore, c’est risquer un lynchage sur Twitter ? C’est pas du patriotisme, c’est de l’aliénation. On laisse une bande de bien-pensants bruyants nous faire croire que la France, c’est le mal incarné, pendant que les autres nations se marrent en hissant leurs couleurs. Être patriote, c’est pas être contre les autres, c’est se souvenir qu’on a du sang de bâtisseurs dans les veines. Alors, la prochaine fois qu’un gaucho te traite de facho pour un drapeau, dis-lui d’aller agiter son tote bag ailleurs.
Et toi, dans mon shop ou ailleurs, bombe le torse, chante la Marseillaise, et sois fier, bordel.
Parce que la France, c’est pas juste un pays, c’est une putain d’histoire, et elle mérite mieux que des pleurnichards qui s’excusent d’exister.
Bisou et VIVE LA FRANCE
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